Notre karatéka national Ruben Girault-Darteyre a encore fait des prouesses en s’offrant la 3ème place du championnat du monde junior de Shidokan en Hongrie.
Du haut de ses 14 ans Ruben continue d’étonner même les plus blasés. Qualifié pour le « Shidokan World Open Tournament » dans la catégorie des 16-18 ans, il n’avait pourtant pas d’autre ambition que celle de participer pour poursuivre son apprentissage et surtout, se faire plaisir. En la matière il a été servi puisque ce tournoi était extrêmement relevé avec de très bons combattants venus de tous les horizons : Europe, Etats-Unis, Amérique du Sud, Inde… « Cela faisait quelques années que l’on avait pas vu des combats d’une telle intensité » commente Christian Pujol qui chapeaute le club Caribbean Shidokan et a noté l’apparition de nouveaux combattants très expérimentés comme les Hongrois, les Ukrainiens ou les Mongols. Au beau milieu de ce brillant parterre, notre Ruben ne s’est visiblement pas senti dépaysé. Malgré son sur-classement dans une catégorie d’âge supérieur, il ne s’est pas découragé et a donné son maximum. « Paradoxalement et malgré sa 3ème place, il a beaucoup mieux combattu qu’au Japon où il avait pourtant terminé 2ème » analyse Christian Pujol.
PROMIS À UN BEL AVENIR
Ruben n’avait aucune pression. « On lui a juste demandé de se faire plaisir ce qu’il a fait avec brio en allant bien au-delà de nos espérances ». Pour son coach, le jeune homme est donc « promis à un très bel avenir ». Une chance unique pour Ruben qui participe à des tournois internationaux de premier plan à un très jeune âge.
Pour ses mentors, pas de doute, « c’est un vrai Samouraï ». Le maître Kancho Yoshiji Soeno ne s’y est pas trompé et surveille son poulain de près, lui prodiguant parfois de précieux conseils, privilège qu’il n’offre pas à tout le monde… Les combats de Ruben sont aussi celui de toute une garde rapprochée qui l’accompagne dans ses défis sportifs. William, son père, s’est chargé de l’intendance tout au long du périple en Hongrie et s’est mué en photographe et vidéaste hors pair. Le jeune samouraï est aussi coaché par de nombreux adultes : Dimitri, Willy, Charly, Lolo et Gaby. Tous les élèves contre qui il a croisé le fer sont là aussi pour le faire progresser. De son côté Ruben, qui participe à tous les cours avec sérieux, force l’admiration de son club : « il se comporte en ‘Bon Ouvrier’, il baisse la tête et bosse, il ne rechigne jamais, c’est ainsi que l’on peut devenir un grand champion, en remettant sans cesse son travail en jeu ».
Et comme le Shidokan est une vraie grande famille, le club remercie chaleureusement tous ceux qui ont mis la main à la pâte pour retaper le dojo amoché par le cyclone Gonzaloe : Joël le « sorcier menuisier », Charly, Olivier, Ruben et son père, ainsi que Lolo.
Pour ses mentors, pas de doute, « c’est un vrai Samouraï ». Le maître Kancho Yoshiji Soeno ne s’y est pas trompé et surveille son poulain de près, lui prodiguant parfois de précieux conseils, privilège qu’il n’offre pas à tout le monde… Les combats de Ruben sont aussi celui de toute une garde rapprochée qui l’accompagne dans ses défis sportifs. William, son père, s’est chargé de l’intendance tout au long du périple en Hongrie et s’est mué en photographe et vidéaste hors pair. Le jeune samouraï est aussi coaché par de nombreux adultes : Dimitri, Willy, Charly, Lolo et Gaby. Tous les élèves contre qui il a croisé le fer sont là aussi pour le faire progresser. De son côté Ruben, qui participe à tous les cours avec sérieux, force l’admiration de son club : « il se comporte en ‘Bon Ouvrier’, il baisse la tête et bosse, il ne rechigne jamais, c’est ainsi que l’on peut devenir un grand champion, en remettant sans cesse son travail en jeu ».
Et comme le Shidokan est une vraie grande famille, le club remercie chaleureusement tous ceux qui ont mis la main à la pâte pour retaper le dojo amoché par le cyclone Gonzaloe : Joël le « sorcier menuisier », Charly, Olivier, Ruben et son père, ainsi que Lolo.
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